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Le cheval est un animal libre et sans attache et pourtant…
Quand Jing Chen et Sue se sont rencontrés, le destin a frappé, l’exposition « Chevauchées silencieuses » retrace le lien indescriptible qui les a unies. Le cheval est devenu plus qu’un animal pour l’artiste, il est « le médiateur entre l’homme et l’univers, entre le terrestre et le divin, un guide vers des dimensions spirituelles inaccessibles autrement ».
L’exposition emmène à partager le regard de Jing Chen vis-à-vis de l’importance des chevaux pour l’homme. L’artiste veut plonger son récepteur au plus proche de son ressenti, lui déclencher une prise de conscience, une passion, un lien.
Cette mise en abîme force ces empreintes émotionnelles que le visiteur découvrira lors de cette chevauchée silencieuse.
Ce mélange, de sacré, de dialogue inter-espèces et de techniques ancestrales, permet à l’homme de retrouver sa place au sein de la nature.
Pour Jing : « Le cheval sait, que les montagnes, sont des prières pétrifiées. »
Un peu pariétal, le travail de l’artiste, allie visible et invisible.
Le cheval, est-il le véhicule pour comprendre ? Quelle est sa place dans l’univers ?

Présente en résidence d’artiste, Jing partagera son univers artistique de premier rang, en proposant plusieurs thèmes de Master-class sur l’entièreté de sa présence, du 30 avril à début octobre.
Son exposition au Hang-art à Esquièze-Sère se déroulera du 30 avril au 13 juillet, du mardi au samedi de 9h à 18h.