l'agenda des sorties

Du 6 au 10 décembre 2023,
Rendez-vous à Rennes Métropole pour les 45èmes Rencontres Trans Musicales .
Depuis 1979, le festival explore les tendances musicales qui feront l’actualité de demain.
À l'affiche cette année, plus de 75 artistes pour 5 jours de concerts, dans 9 lieux différents à travers la ville.

Direction Le Liberté le samedi 9 décembre pour le concert gratuit avec :

Citron Citron
Suisse
Membres actif·ves de la scène expérimentale genevoise, Zoé Sjollema et son frère Augustin ont profité du confinement pour se lancer dans un nouveau projet musical minimaliste repéré et signé par le label Bongo Joe. En duo, ils proposent une pop de chambre enregistrée avec quelques synthétiseurs, une boîte à rythmes, une guitare discrète, un thérémine et un violon. La voix de Zoé illumine ces complaintes synthétiques qui évoquent à la fois les atmosphères d'Angelo Badalamenti et l’univers poétique de Brigitte Fontaine & Areski.

Mokhtar
France
Imaginez des descendants de Herbie Hancock qui auraient appris à jouer du funk à l’ombre des grandes pyramides d’Égypte et vous obtenez Mokhtar, un quintet instrumental qui n’a pas peur de faire rimer disco avec chameau. Au cœur de cette formation rennaise, un basson électrique et un saxophone dialoguent pendant qu’un trio claviers/basse/batterie varie les rythmes, faisant évoluer des morceaux cools et contemplatifs en des cavalcades dansantes et effrénées. Un cocktail envoûtant de jazz fusion funky et d’afro-soul relevé aux épices orientales.

Huush
France
“Huush”, pour dire “chuut” en anglais… et surtout prévenir que ces trois musiciens échappés du groupe rennais Eighty ont décidé de faire beaucoup de bruit avec ce nouveau projet electro-rock imaginé comme une déclaration d’amour à la fête et au lâcher prise. La batterie cogne fort, la guitare oscille entre arpèges technoïdes et son saturé tandis que la basse synthétique vient soutenir les beats puissants de cette musique de nuit bien avancée, sur des textes en français et en anglais invitant à l’ivresse et aux plaisirs charnels. À peine lancé, le trio nous offre déjà sur scène une collection d’hymnes à la danse et à la musique de club débridée, aussi joyeuse que sauvage.

Planet Opal
Italie
D’un côté il y a Giorgio à la production, au chant et au synthé, qui vient des raves et des clubs. De l’autre, Leonardo, batteur et percussionniste plutôt punk et rock. Ensemble, ces deux Italiens arrivent à conjuguer dance punk façon LCD Soundsystem, post-disco et héritage synthétiques de Kraftwerk et Moroder. Une science du dancefloor on-ne-peut-plus solide, sans jamais trop se prendre au sérieux.