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Qui Mozart admirait-il parmi ses contemporains ? Joseph Haydn, bien sûr, dont la passionnée Symphonie n° 44 représente magnifiquement le mouvement du Sturm und Drang, également perceptible dans la Symphonie n° 25 de Mozart où la tonalité mineure exprime une atmosphère tragique. Il admirait aussi Carl Philipp Emmanuel Bach, dont le Concerto pour violoncelle et orchestre témoigne de la transition entre le baroque et le classique. Qui mieux que le Concentus Musicus Wien, invité chaque saison à La Seine Musicale, et Christophe Coin pour nous offrir une version d’exception de ces œuvres ?